La semaine dernière a été une semaine très difficile en débat au niveau de l’Assemblée Nationale. Sur projet de loi de la part du gouvernement ivoirien portant révision du code pénal ivoirien en son article 226, l’épineuse problématique du concept « d’orientation sexuelle » a été l’objet de vives discussions et tensions.
Pour les députés ivoiriens, l’adoption d’un tel concept dans la loi ouvrirait la voie à toutes les interprétations possibles allant jusqu’à une légalisation subtile de l’homosexualité, comme une orientation sexuelle valable au même titre l’hétérosexualité.
La Côte d’Ivoire comme, bons nombres de pays d’Afrique, sur la base des principes et des valeurs religieuses et culturelles n’est pas prête à accepter l’homosexualité comme une orientation sexuelle au même titre que l’hétérosexualité.
Si sous d’autres cieux, deux hommes ou de femmes peuvent se marier, en Côte d’Ivoire, il est catégoriquement interdit de le faire. Une telle pratique heurte les consciences, et porte gravement atteinte au principe fondamental de la famille qui l’essence sur laquelle se construit la culture et la société ivoirienne. La famille n’a pas d’avenir dans l’homosexualité. Que serait donc une société sans famille ?
Face aux idéologies stériles que tentent d’imposer l’Europe, il convient de rester vigilant pour défendre l’homme dans ce qu’il a de plus fondamental qui est la famille.
Père Donald Zagore, sma
